Derrière le nationalisme frontiste prôné par la candidate d’extreme droite, Marine Len arbore des relations diplomatiques souvent très contestées par les autres candidats en course à l’Elysée. Suite à ses récentes visites au près du chef d’état Américain,Donald Trump, ainsi que chez son homologue russe, Vladimir Poutine, une réelle question s’impose quant aux relations diplomatiques internationales qu’envisage la candidate du front nationale.
Marine Le pen est pour un multiculturalisme au niveau planétaire mais s’y oppose à une échelle nationale. Ne voulant pas d’un multiculturalisme en France, elle ne prétend pas étendre la culture Française à L’étranger.
La France sous Marine le Pen s’installera donc dans un climat de rapport de force. Avec en premier lieu, la volonté de renouer des liens avec l’actuel régime syrien de Bachar el-Assad qui est pour la candidate « une alternative plus rassurante à l’état islamique ».
Elle possède ainsi le meme programme diplomatique en matière de relations internationales que Donald Trump et Vladimir Poutine à savoir, non interventionniste voire isolationniste. Ces relations entre les deux chefs d’états sont par ailleurs pleinement assumées.
un rapprochement avec Donald Trump et Vladimir Poutine
La candidate FN c’était empressée d’exprimer son réjouissement en apprenant l’élection de Donald Trump le neuf novembre 2016, en le félicitant sur les réseaux sociaux. Elle a par ailleurs été conviée en janvier 2017 à une soirée d’honneur dans la Trump tower. la candidate d’extreme droite a suite à cela saluée « son réalisme et sa volonté de changement » et entend par cela une bonne entente entre les deux pays si elle arrive au pouvoir.
En vu de son élection, Marine Le pen envisagerait un rapprochement avec la Russie. Car meme si sur sa politique en matière de sécurité prétend que la France pourrait assurer sa sécurité elle meme, sans dépendre d’autres pays. elle n’exclue cependant pas les alliés. Marine le Pen se dit ainsi prête a créer des affinités avec la Russie qui est « depuis longtemps maltraitée » par cette Europe qu’elle souhaite quitté.
la candidate accepterait l’accueil d’étudiants africains
Au sujet de la question africaine, pour Marine Le pen, la non-ingérence ne signifie pas pour autant l’indifférence. La candidate propose ainsi une « coopération active entre les pays africains ». Et accepterait donc l’accueil d’étudiants africains si ils acceptent (bien entendu) « le principe du retour ».
Marine le Pen compte conserver si elle est élue l’aide au développement à 0,7% du PIB mis en place par la France pour aider les pays Africains, dans une question « de notre sécurité nationale ».
ClemActu 